Thèmes et déroulement
des quatre audioconférences
27 novembre 2001: Est-il toujours nécessaire de former
ou d'appartenir à un réseau?
Les spécialistes invités à cette première
rencontre ont répondu aux questions suivantes: Pourquoi
mettre en commun des ressources techniques? Quelles devraient
être nos motivations et notre philosophie à la base
du désir (ou de l'obligation) de mettre en commun des ressources
techniques? La rentabilité? L'augmentation des effectifs
étudiants? L'efficacité? Le bien-être des
apprenants et une meilleure qualité de la formation offerte?
Accroître l'accès à la formation pour les
clientèles étudiantes des régions éloignées
où dont les ressources techniques ne sont pas suffisantes?
Quoi mettre en commun (quels types de ressources), pourquoi et
à quelles conditions? Jusqu'où aller dans ce partage
des ressources? Est-il préférable, parfois, de se
greffer à un réseau existant? Cette mise en commun
ne risque-t-elle pas de créer des problèmes de compétition
entre les établissements et «d'écraser»
les plus petits? Au contraire, peut-elle contribuer à créer
un sentiment d'appartenance et être profitable à
tous, incluant la clientèle étudiante?
11 décembre 2001: Qu'en pensent les spécialistes
et les utilisateurs ?
Les spécialistes invités ont relaté leur
expérience dans l'implantation d'un réseau de partage
de ressources techniques et ont répondu aux questions suivantes:
Quelles sont les conditions («les ingrédients du
succès») pour réussir un projet de partage
de ressources techniques entre divers établissements (petits
et grands)? Quels sont les avantages concrets (financiers, efficacité,
etc.) que ces établissements ont retiré après
plusieurs mois ou plusieurs années de collaboration? Comment
a été réalisée l'implantation du réseau?
Quels défis ont dû être relevés? Comment
(et par qui) les coûts et les responsabilités du
réseau sont-ils partagés et gérés?
Que faut-il faire pour réussir, progresser et même
survivre?
19 février 2002: Où? Quand? Comment? Combien?
À quelle(s) condition(s)?
Les spécialistes invités ont répondu aux
questions suivantes: Quelles ressources techniques devrait-on
mettre en commun pour développer conjointement des supports
de cours (ou tout autre projet), autant à l'intérieur
d'un même établissement qu'en collaboration avec
des partenaires d'autres établissements ou de réseaux?
En plus de l'infrastructure technique, devrait-on partager l'expertise
des personnes, les contenus de cours et les programmes? À
quel endroit, à quel prix, et à quelles conditions
organiser un tel partage et comment le financer? Enfin, est-il
préférable et plus avantageux de mettre sur pied
un nouveau réseau que de se greffer à un réseau
déjà en place?
12 mars 2002: Les administrateurs de réseaux sont-ils
indispensables?
Lors de la première rencontre de la Table nationale francophone
de concertation technique, un participant avait affirmé
que sans coordonnateur de réseau (et sans l'argent pour
le payer), les équipements «dormiraient certainement
sur les tablettes». Est-ce toujours le cas ? La survie d'un
réseau dépend-elle de son administrateur ou de son
administratrice ou encore de son animateur ou de son animatrice?
Les spécialistes invités nous ont entretenus de
leurs diverses fonctions et de leurs tâches au sein de leurs
réseaux respectifs, ainsi que de divers aspects liés
à leur travail: financement du réseau, disponibilité
des coordonnateurs et des animateurs de réseau, communications;
partenariats; réservations; inventaires, comptabilité,
visibilité des services; ressources nécessaires,
etc.
Déroulement des audioconférences
Toutes les audioconférences se sont déroulées
le mardi, entre midi et 13 h 30, heure de l'Est. Chaque spécialiste
invité disposait d'une dizaine de minutes pour donner son
point de vue sur le thème à l'ordre du jour. Les
observatrices et les observateurs étaient ensuite invités
à participer à une discussion avec les spécialistes.
À la toute fin des trois premières audioconférences,
chaque personne présente était invitée à
émettre une seule recommandation en lien avec le thème
à l'ordre du jour.
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