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Compte rendu de la troisième rencontre (19 février 2002)

Intervention de madame Claire Mainguy
Intervention de monsieur Denis Mayer
Intervention de monsieur Christian Allègre
Période de discussion entre les spécialistes et les observateurs
Recommandations

Où? Quand? Comment? Combien? À quelle(s) condition(s) ?

Outre l'équipe du REFAD et l'animatrice, trois spécialistes et six observatrices et observateurs s'étaient donné rendez-vous pour discuter du thème à l'ordre du jour. Il s'agit de madame Claire Mainguy et de messieurs Denis Mayer et Christian Allègre, ainsi que de madame Carole Émard et messieurs Alain Nogue, Denis Lachance, Claude Potvin, Gaétan Desrosiers et André Lévesque.


Intervention de madame Claire Mainguy
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- L'implantation du système d'apprentissage intégré WebCT à l'Université Laval

Au printemps 2000, le Comité exécutif de l'Université Laval a résolu d'adopter WebCT comme unique plate-forme de développement de cours sur Internet et de supporter les coûts et les ressources humaines engagées dans ce projet. Cette décision étant prise, les facultés avaient quand même la possibilité de choisir une autre plate-forme dans la mesure où elles en assumaient les coûts et les frais d'opération. La Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation, qui utilisait déjà Learning Space dans plusieurs cours, a donc choisi de continuer à développer ses cours avec cette plate-forme.

Le Réseau de valorisation de l'enseignement

Mandaté par le vice-recteur aux affaires académiques et étudiantes, le Réseau de valorisation de l'enseignement, petit groupe de cinq personnes greffé à la Direction générale de premier cycle, est le maître d'œuvre de l'implantation de WebCT. Ces personnes sont responsables du développement des applications pédagogiques et technologiques, ainsi que de la planification, de la gestion, de la promotion, de la formation et de l'assistance pédagogique. Leur travail s'effectue en collaboration avec les facultés, le Bureau du registraire (inscriptions, liens avec les étudiantes et les étudiants, etc.) et le Service de l'informatique et des télécommunications (SIT). Le SIT était responsable de l'installation et de la maintenance du système d'exploitation et des logiciels, ainsi que du soutien technique.

Un projet pilote

Une fois toute l'infrastructure mise en place, un projet pilote de 20 cours (1200 étudiants) a été lancé. Les enseignantes et les enseignants ont reçu une formation technique sur l'utilisation du système ainsi qu'un soutien pédagogique et un soutien au développement. Une fois les cours en ligne, à l'hiver 2001, le projet a été évalué par une firme externe.

Un comité institutionnel

À l'automne 2000, un comité institutionnel a été mis sur pied. Ce comité avait notamment pour mandat de déterminer les priorités, les étapes et les besoins (techniques, pédagogiques, ressources humaines et financières, etc.) lors de l'implantation de WebCT sur le campus. Un gros mandat pour un gros comité formé de 14 personnes, réparties en 5 sous-comités. Au printemps 2001, le comité a produit un rapport préliminaire de ses activités, ainsi que l’évaluation du projet pilote par la firme externe. Parmi ses recommandations, le comité suggérait notamment que les plus «grosses» facultés (sciences et génie, administration, éducation) soient responsables du dépannage technique auprès de leurs étudiants et étudiantes et du soutien pédagogique et technologique auprès des professeures et des professeurs. Le Comité suggérait aussi que le Réseau de valorisation de l'enseignement (RVE) soit responsable de ces services dans les facultés où les ressources n'étaient pas suffisantes. Le RVE appuierait aussi les équipes dans les facultés et une seule personne par faculté assurerait le lien entre le RVE et les unités administratives (registraire, etc.).

En octobre 2001, le comité a remis son rapport final au Comité de coordination des technologies de l'information. Parmi ses recommandations figuraient l'accélération de l'implantation de WebCT au sein des Facultés, l’affectation de ressources humaines et financières récurrentes, ainsi que la reconnaissance et la valorisation des efforts des professeures et des professeurs. Le comité souhaitait également que soit discuté à d’autres niveaux organisationnels le problème des droits d'auteur du matériel produit et diffusé.

Suite à ce rapport, le RVE a mis en place un Comité de suivi, composé de 7 personnes, qui veille maintenant au déploiement efficace et opérationnel de WebCT sur le campus. Il analyse notamment les nouveaux besoins et propose des solutions. Il examine et veille à ce que les recommandations énoncées dans le rapport final soient appliquées, il conseille le RVE quant aux besoins des facultés et de leurs membres et procède, au besoin, à une veille technologique sur les différents développements dans ce domaine.

Intervention de monsieur Denis Mayer
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- Le partage de ressources pédagogiques, techniques et administratives entre divers établissements

Les exemples de cette intervention ont été tirés de trois réseaux au sein desquels monsieur Mayer travaille: le Comité consultatif de l'Université virtuelle canadienne, le Groupe de travail en médiatisation du Centre national de formation de santé et Contact-Nord.

Les ressources techniques

- Il est possible de partager…

· Des plates-formes et des logiciels: l'obtention d'une licence provinciale pour l'utilisation de WebCT a permis aux établissements partenaires de réduire leurs coûts d'exploitation. De la même façon, une licence de réseau pour l'utilisation de logiciels de montage, de conception et d'animation graphique permet non seulement de réaliser des économies mais de partager des connaissances et des compétences en lien avec ces logiciels.

· Des normes de conception et de production communes: les partenaires du Centre national de formation de santé ont établi des normes communes pour la conception et la production de cours: largeur de l'écran, couleur, affichage, taille et format des caractères, des images, des photos, des pieds de pages, choix des connexions à Internet, des fureteurs, liens pour l'accès aux cours, etc.

· Un serveur: une entente avec le PAC, le programme d'accès communautaire du ministère de l'Industrie du Canada a été conclue. (Le PAC a été conçu pour fournir aux Canadiens un accès public à Internet à un prix abordable.)

· Un site web: le site web de l'Université virtuelle canadienne est partagé par 13 universités.

· La bande passante: partage (achat en groupe) de la bande passante avec le Collège Boréal et Contact-Nord.

· Des connaissances techniques: les professeur(e)s et les étudiant(e)s qui ont acquis des connaissances et des habiletés techniques peuvent offrir un service de dépannage dans leurs centres respectifs.


Les ressources pédagogiques

- Il est possible de partager…

· La formation dans le domaine de la conception de cours.

· L'expérience et l'expertise des concepteurs et des conceptrices pédagogiques.

· La documentation: conception de cours, sites, banque d'experts en conception de cours, guides et modèles de développement de cours, etc.

· Des modules de cours et des objets d'apprentissage: les cours au complet ne sont pas partagés en raison des différents problèmes liés aux droits d'auteur, aux droits d'exploitation, de reproduction des cours et aux conventions collectives.


Les ressources administratives

- Il est possible de partager…

· Des conseils généraux destinés aux apprenantes et aux apprenants: reconnaissance des crédits d'un établissement à l'autre, directives, aide financière, formulaires d'évaluation des cours, etc.

· Des contrats types pour le développement et l'offre de cours à distance.

Intervention de monsieur Christian Allègre
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- La multidiffusion (multicasting)

Le RISQ, le Réseau d'information scientifique du Québec, s'occupe principalement d'infrastructure. Dans ce domaine, il est crucial de «voir loin» pour que les universités qui ont fondé le risq (toutes les universités québécoises) soient en avance dans ce domaine. C'est en effet la technologie qui leur permettra d'assurer la formation (enseignement et apprentissage) dans les prochaines années.

Bientôt, un seuil sera franchi où la croissance du réseau deviendra exponentielle.

Si on se limite à un «unicast» («un à un») pour envoyer le même type d'information à plusieurs personnes en même temps cela devient coûteux en bande passante et difficile à gérer. Pour résoudre ce problème, il existe un protocole, la multidiffusion (multicasting) qui permet de faire de l'éducation à distance par réseaux en envoyant l'information d'une machine vers plusieurs machines en même temps. Par exemple, un professeur peut donner une conférence entière par le réseau IP («un à plusieurs»). Pour créer une classe électronique, il faut évidemment que chaque intervenant dispose des mêmes outils et des mêmes logiciels que le professeur: audio, image, tableau blanc électronique, présentation PowerPoint, etc. («plusieurs à plusieurs»). Le multicasting n'est pas encore tout à fait au point mais on sait qu'il va être utilisé de façon courante dans un proche avenir.

Le multicasting est un type de «Webdiffusion» dans laquelle un ordinateur hôte, considéré comme la source, expédie des messages, non pas directement aux utilisateurs, mais à un groupe d'ordinateurs hôtes destinataires qui, eux, se chargent de la distribution finale vers les utilisateurs inscrits. La multidiffusion, utilisée dans le réseau Internet, présente trois avantages principaux : elle limite la consommation de bande passante sur les grandes distances, elle facilite la recherche de ressources, et enfin, rend possible la diffusion de contenus multimédias.» (Source: Le grand dictionnaire terminologique)

Période de discussions entre les spécialistes et les observateurs
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À propos du multicasting

· Le multicasting est une manière de distribuer l'information, un protocole, un concept qui s'applique sur le réseau Internet, le réseau IP, comme dans le cas du RISQ. Le routage multicast permet de transmettre l'information en temps réel, d'une personne à plusieurs personnes en même temps, sans limites. (C. Allègre)

· Quel est le lien entre le protocole multicast et des logiciels de type collaboratif tels Cu-SeeMe, NetMeeting ou d'autres logiciels plus modernes tels Symposium ou Horizon Live qui utilisent un serveur spécialisé pour diffuser de l'audio et du vidéo à plusieurs personnes à la fois? (Cl. Potvin)

À propos de WebCT

· (Question à madame Mainguy). Est-ce exact que les aspects francophones de WebCT ne sont pas aussi développés qu'on le souhaiterait? N'existe-t-il pas d'autres logiciels plus francisés que WebCT, par exemple Univirtuel (VirtualU). Avez-vous évalué d'autres logiciels plus francophones que WebCT ou avez-vous choisi de maximiser ce qui est en français dans WebCT? (Denis Mayer)

· Nous utilisons la version 3.1 de WebCT. Toute la section «aide» n'est pas vraiment traduite en français. Nous avons donc produit des guides d'aide pour les étudiants et un guide pour les concepteurs de cours. Le reste est acceptable. Avant d'adopter WebCT, l'université a également évalué Learning Space et Univirtuel qui étaient déjà utilisés sur le campus. La version française de Learning Space présente aussi quelques problèmes au niveau du français. On continue à utiliser Univirtuel pour les forums de discussions en administration. Notre Comité de veille technologique continue à se tenir au courant et nous avons déjà évalué deux autres produits francophones. Le rapport qualité-prix de WebCT a été un argument majeur dans le choix de cette plate-forme. (Cl. Mainguy)

· Nous utilisons la plate-forme WebCT mais aussi Total Learning Manager (TLM) qui est moins bien connue bien qu'elle soit en français. Le Département des sciences économiques de l'Université Laurentienne utilise TLM car elle permet de créer des banques de questions pour les étudiants. (D. Mayer)

· Les guides produits en français par l'Université Laval pour WebCT sont un exemple de documents que nous serions prêts à partager. (D. Mayer)

· Notre licence d'utilisation de WebCT pour 12 mois est d'environ 5000 $ américains pour les 25 établissements de notre réseau. (D. Mayer)

· À l'Université Laval, le coût de la licence pour utiliser WebCT est également de 5000$ pour tout le campus mais il faut s'attendre à des changements. La prochaine version de WebCT, la version Vista risque de coûter très cher. Durant l'année 2000-2001, 301 de nos cours qui utilisaient la plate-forme WebCT. (C. Mainguy)

· Si le prix augmente considérablement, n'est-il pas plus avantageux de créer notre propre outil, surtout dans le cas des petits établissements qui n'ont pas les moyens de se la procurer? Le risque est grand de se retrouver à nouveau avec des plates-formes différentes. (D. Mayer)

· Il y a environ 400 cours offerts sur WebCT à l'Université McGill. L'Université de Montréal utilise aussi cette plate-forme. Pourquoi alors ne pas tenter d'obtenir une licence provinciale pour toutes les universités? (C. Allègre)

· L'Université Laval fait partie d'un regroupement de plusieurs universités et collèges québécois qui utilisent WebCT. Nous nous rencontrons périodiquement et faisons des pressions pour obtenir des prix plus avantageux pour la licence de WebCT. (C. Mainguy)

À propos des différentes plates-formes de conception et de diffusion de cours à distance

· On peut trouver une liste exhaustive des différentes plates-formes disponibles à l'adresse suivante: http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=12074 . Dans cette liste, 10 plates-formes peuvent être utilisées gratuitement, dont la plate-forme d'apprentissage en ligne Ganesha. (http://www.anemalab.org/). À surveiller aussi, l'arrivée de Kanari (http://www.kanari.com), un des premiers outils de collaboration de type «Napster» en éducation. (Cl. Potvin)

· La Télé-université a également étudié la possibilité d'utiliser WebCT, mais nous avions déjà «en chantier» la conception de deux plates-formes de montage et de diffusion de cours en ligne: AdapWeb (associée à une base de données Oracle) et Explora (associée à une base de données Access). Ces deux plates-formes contiennent un module «concepteur» (qui permet au professeur de faire le montage de son cours), un module «étudiant» (qui répercute le module du concepteur vers l'étudiant) et un module «tuteur» (pour la personne qui assure l'encadrement). Ces deux plates-formes ont les mêmes fonctions que WebCT. Le coût de leur licence de diffusion est à peu près le même que celui de WebCT mais il n'augmentera pas dans les mêmes proportions! (Denis Lachance)

· Comment, à la Télé-université la mise à jour de ces plates-formes est-elle financée? (C. Allègre)

· Actuellement, le développement d'Explora est financé par des projets de recherche soumis au Bureau des technologies et aussi au Réseau d'enseignement canadien pour le télé-apprentissage (RCE) http://www.nce.gc.ca/about_f.htm ou réseau des centres d'excellence en télé-apprentissage (http://www.telelearn.ca/frn_home.html). Adap-Web est développé localement avec l'aide d'un professeur et d'un étudiant d'un cégep de la région spécialisé dans le domaine des technologies et du télé-apprentissage. Les deux plates-formes sont mises à jour en tenant compte de leurs développements mutuels. (Denis Lachance)

· Le logiciel Merlin est un logiciel intermédiaire utile pour les enseignants qui connaissent peu WebCT car il leur permet de structurer le contenu de leur cours à l'aide d'une base de données compatible avec les nouveaux standards xml. En collaboration avec la Faculté Saint-Jean et peut-être le ministère de l'Apprentissage de l'Alberta, nous allons évaluer si Merlin peut être utile pour nos besoins. (C. Émard)

· Nous sommes intéressés à connaître les résultats de l'évaluation que vous ferez de Merlin. (C. Mainguy)

· Est-ce qu'il existe déjà des programmes de formation continue pour les futurs concepteurs ou les instructeurs de formation en ligne, autres que des programmes de maîtrise. Par exemple, NATE a développé une série de 6 modules sur ce sujet (animation de conférences, augmentation de la motivation, etc.). Nous ne voulons pas refaire ce qui a déjà été fait. (C. Émard)

À propos des objets d'apprentissage

· On parle de plus en plus d'un «dépôt» pan-canadien d'objets d'apprentissage (dans les deux langues officielles) et l'intérêt est grand partout au pays pour ce projet. Le principal promoteur de ce dépôt est un des animateurs de NETERA. (C. Allègre)

· En Alberta, depuis un an ou deux, plusieurs projets ont été mis en route pour développer des objets d'apprentissage, surtout pour le secondaire (10e, 11e et 12 année principalement). Pour le cours Physique 30, nous collaborons avec le ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick qui va notamment le traduire. Notre colloque, en octobre prochain (2002), portera d'ailleurs sur l'utilisation et le partage des objets d'apprentissage dans un environnement d'apprentissage en ligne. Il existe aussi une initiative fédérale pour la mise sur pied d'un réseau ou d'un service de diffusion d'objets d'apprentissage. (C. Émard et A. Hogue)

Sur le plan pratique…

· Les établissements postsecondaires créent de plus en plus des petits services chargés de l'intégration des technologies d'apprentissage et de la formation à leur utilisation, en classe et dans les programmes offerts en ligne. À l'Université Laurentienne, l'Institut des technologies et de l'apprentissage, devenu depuis peu «Formation et intégration des technologies» a pour mandat d'améliorer les services offerts aux étudiants (accès à l'information et appui à l'apprentissage). Il est essentiel de confier à un service le mandat de maintenir une vision institutionnelle sinon chacun risque de travailler de son côté et d'utiliser le ou les logiciels et les plates-formes de son choix. Ceci ne permettra plus de synchroniser et de centraliser les opérations. L'idée est de regrouper les énergies et de coordonner les interventions tout en tenant compte des idées de toutes les personnes impliquées, sans rien leur imposer ou les dicter. (D. Mayer)

Recommandations
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· Plus on se parle, plus on constate qu'on a des choses à partager. Il est important de garder le contact et d'utiliser toutes les banques d'informations du REFAD. (C. Mainguy)

· Étudier les développements des diverses plates-formes (hausses des coûts, alternatives possibles, etc.) et mettre en commun nos recherches (avec l'aide du REFAD) afin que nous puissions tous réaliser des économies. (D. Mayer)

· Ne jamais oublier la question cruciale des infrastructures car nous dépendrons d'elles dans l'avenir. Le REFAD devrait questionner régulièrement les administrateurs de réseaux pour s'assurer qu'ils soient prêts pour le multicast. (C. Allègre)

· Tous les utilisateurs de la version française de WebCT devraient unir leurs efforts pour obtenir un meilleur service de la part de la compagnie, notamment une aide en ligne en français afin de ne pas dupliquer le travail dans chaque établissement. (C. Émard)

· La convergence des supports technologiques de l'enseignement en ligne et de l'enseignement sur campus doit être soulignée. L'utilisation de WebCT sur le campus et à distance en est un exemple. (D. Lachance)

· La plate-forme Ganesha. (http://www.anemalab.org/) et le collecticiel Kanari (http://www.kanari.com), un des premiers outils de collaboration de type «Napster» en éducation que j'ai mentionnés plus tôt devraient être regardés de près. (C. Potvin)

· L'infrastructure technologique doit être mise en place, mais aussi le partage des connaissances. Ne pas oublier l'infrastructure technologique. Il semble que le gouvernemental (fédéral) mettra en place une infrastructure technologique pour CA*net 3. Internet 3 pourra permettre la diffusion d'information à des fins de formation ! Au environ de janvier 2002, CANARIE inc. a dévoilé un programme à frais partagés qui servira à financer la recherche sur le contenu électronique évolué. Alimenté à la fois par canarie et Patrimoine canadien, le Programme de recherche appliquée sur les médias interactifs (rami) soutiendra les projets novateurs sur les réseaux numériques, y compris la diffusion à haute vitesse de contenu sur CA*net 3. (Ce que j'appelle Internet 3.). Ce programme a pour but d'intensifier l'innovation dans le secteur du numérique. Ainsi, une bande passante plus évoluée permettra de diffuser des contenus plus variés et plus interactifs, incluant l'utilisation de plate-forme pour le E-learning . (G. Desrosiers)

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Mise à jour: 4/3/2002